• Cette fois-ci, ça bouge : non seulement notre trio Majaya va participer au festival Arta Sacra de Vaulx-en-Velin en septembre, mais de plus, pour nous rôder, nous organisons notre premier concert public le 23 mai à Lyon. (Infos utiles à retrouver en page Prochains concerts).
• Mais La vie est faite d’allées et venues, comme de venues et d’allées… Ainsi, les deux cithares étoiles arrivées chez moi en décembre n’ont malheureusement pas scintillé de la façon attendue. Je les avais spécialement désirées pour mes concerts et enregistrements : or, leurs contraintes très spécifiques de transport, d’accordage, et de repérage des cordes se sont rapidement avérées incompatibles avec celles, plus impérieuses encore, de mon handicap visuel, au point de les rendre inutilisables dans le cadre de chacun de ces projets…
Les mots manquent pour rendre compte de ma déception ! En tous cas, l’évidence s’est assez rapidement imposée : dans de telles conditions, à quoi bon les conserver ? Je leur cherche donc d’autres cieux pour scintiller de leurs mille feux – leur haute qualité demeurant indiscutable pour qui jouit d’une vision normale ; et intacte, mon estime pour le travail du luthier. Avis aux acquéreurs (état neuf puisqu’elles ont regagné leur étui depuis février, mais à la clé, une petite remise consentie). Me contacter pour plus d’infos.
• Belle satisfaction au contraire, que d’entendre un élève assidu depuis 2021 me partager régulièrement son bonheur : être passé du stade de partitions toujours pénibles à aborder, à un réel plaisir du déchiffrage… Rien détonnant pour moi, quand je constate qu’il a parfaitement intégré les divers savoir-faire utiles à une lecture fluide, jusqu’au jeu sans regarder pour les intervalles de ton. Un encouragement qui tombe à point nommé, alors que, justement, je mets la dernière main à un document spécifique sur le déchiffrage à vue, que j’estime tellement précieux pour les citharistes…
Pour commencer, une plaisante info : notre trio musical Majaya prépare son 1er concert pour le 20 septembre, dans le cadre du festival Arta Sacra de Vaulx-en-Velin (Rhône)… Les détails viendront en temps utile.
Vous avez peut-être remarqué que, par petites touches, la boutique Maguy Cithare s’enrichit de nouvelles compositions : ainsi, cet hiver, Chemin de février… Et je désire dire quelques mots de ces travaux.
Pour la plupart, ce sont en quelque sorte des fruits d’arrière-saison – car, durant des années souvent trop chargées, je n’ai eu que le temps de noter brièvement les thèmes qui me traversaient l’esprit. (À ce propos, une particularité qui m’a toujours étonnée : c’est bien souvent durant le trajet de retour des stages que l’inspiration pointait son nez…).
En fait de compositions, la demande ne manquait pas, avec le petit reproche sous-jacent de trop m’attacher aux transcriptions… C’est vrai : j’aurais pu m’obliger à traiter de suite et publier ces petites fleurs personnelles ; mais je remarquais que dans la précipitation, même les thèmes les plus prometteurs, après quelques mesures, n’aboutissaient qu’à des banalités ! Alors, au grand dam des premières générations de citharistes, je préférais m’abstenir, patienter…
Au vu de ce que je réussis à produire aujourd’hui, à la faveur d’une période plus paisible de mon activité, je ne regrette rien de mes choix !
Ainsi, je feuillette régulièrement mes thèmes, selon le conseil de Marcel Godard – grand musicien s’il en est : « Un thème, ça se travaille tous les jours » ! La plupart du temps, je n’ajoute que deux ou trois notes ; mais bientôt, subrepticement, la musique commence à me trotter dans la tête, comme une sauce sur le point de prendre, et c’est là que le meilleur commence à surgir…
À ce stade, on pourrait croire que l’affaire est en poche, et pourtant… À chaque nouvelle visite de la partition, des retouches s’imposent. Telle note, tel rythme, tel accord irait tellement mieux ! Et c’est là qu’il faut avoir la sagesse de patienter encore et encore, jusqu’à ce que, vraiment, plus rien n’ait envie de bouger. Alors oui, sonne l’heure de la publication – pour peu que le codage et la mise en page ne requièrent pas trop d’efforts…
Petite confidence sur la gestation de mes œuvres !
Petit retour sur 2024, avec ce témoignage reçue d’une stagiaire qui suivait sa deuxième session en novembre à En Calcat : un peu pour le compliment… mais surtout, parce que nous avons là je crois toute la sensibilité propre aux citharistes, qui fait la joie de mon quotidien depuis tant d’années !
« J’ai essayé de mettre en mots le plaisir que j’ai ressenti à faire ce stage. Parce que, Maguy, il faut le dire, tu as l’art de transformer les cordes en rayons de lumières : ccs rayons qui partent de la terre vers le ciel comme un coucher de soleil ; ou encore, ces rayons qui jouent à travers les feuillages, et viennent baigner la terre d’un peu de paix. Ta musique s’évade en gouttelettes scintillantes, et s’écoule en cascades majestueuses : fortes, puis tendres et douces…
« Ce stage était pour moi encore riche de découvertes et de partage. Je me suis régalée à chaque veillée de pouvoir ainsi voyager ; et j’ai pu envisager des balades ou voyages que je pourrais moi même entreprendre. C’est un très beau cadeau que je reçois.
« J’ai également pris beaucoup de plaisir à me plonger avec ce groupe dans les chants de Noël : petits aller retours dans l’enfance et la magie de Noël…
« En résumé, je mettrais en avant un mot en particulier : l’émerveillement ! Ces cithares font vibrer nos âmes dans un chemin intérieur, un chemin vers les autres, et aussi dans ce chemin vers Dieu… » (M.L.)
Pour moi, 2025 commence par trois bonnes nouvelles !
• “Cantate et Cithare” (album de 1995) a rejoint ma discographie sur les plateformes d’écoute en streaming… La collection est désormais complète !
• “After english, spanish and italian”, le site Maguy Cithare s’est ouvert au néerlandais. Signalez à vos amis de tous pays l’Accueil du site, et les Pages internationales, avec leurs divers docs pédagogiques…
• Un nouveau lieu de stage en Savoie, qui prend la suite de Cran Gevrier : l’Abbaye de Belmont Tramonet.
Je termine bien sûr en souhaitant à chacun une magnifique étoile pour guider et illuminer cette année 2025, nourrie de tant d’espérances !
Voici, pour ce dernier mois de l’année, une mozaïque de petites infos et impressions…
Retour du stage donné à En Calcat, sur le thème « Le beau répertoire de Noël » : un régal de musique et de chants ! De l’avis général : une semaine, c’était vraiment trop court pour faire le tour d’un si vaste et merveilleux domaine ! Pour ma part, je suis enchantée de cette mémorable réalisation.
Conjointement, le recueil « Petits Noëls traditionnels à la cithare » (ma dernière publication) s’avère très prisée, et les QR codes que j’y ai intégrés remportent un franc succès – surtout ceux qui donnent accès aux musiques d’origine… Noter que, dans la suite des Qr codes vers les audios et les textes, je compte aussi sur les utilisateurs et leur curiosité, pour une finalisation des données à caractère culturel (3e colonne), encore incomplètes…
Et encore : un pas de plus dans l’internationalisation du site Maguy Cithare, avec la traduction en néerlandais de la page d’accueil, de la présentation de la Boutique, des instructions relatives à la notation pour cithare ; enfin, une réédition complétée et optimisée du lexique musical. Merci à Françoise – d’autant qu’elle compte bien ne pas s’arrêter en si bon chemin !
Point culminant : joie d’étrennes arrivées pour moi dès le 11 décembre : livraison d’un psaltérion 12×7 et de sa partie mélodique, de marque zither « Etoile du matin »*. Un tel achat serait une petite folie, si je n’avais pas désormais à accompagner certains élèves sur ce modèle tout à fait spécifique… et plus encore, si je n’envisageais pas de nouveaux enregistrements : circonstances pour lesquelles une cithare à la sonorité rigoureusement uniforme, au montage parfait, et à la stabilité d’accordage consommée, ne relèvent vraiment pas d’un luxe !
* NB : Les deux parties de l’instrument sont à juxtaposer.
Que vous souhaiter, chers amis Internautes… sinon de célébrer vous aussi Noël avec la cithare de votre cœur : grande ou petite, elle sait toujours nous enchanter, et diffuser à ceux qui nous sont chers, paix, harmonie et joie en surabondance !
Le message de ce mois s’adresse plus particulièrement aux citharistes, mais comme toujours, l’“Audio” est là pour réjouir et fidéliser les fans de cithare…
Je reviens tout d’abord sur la dysproprioception évoquée en octobre, ayant eu l’opportunité de participer (partiellement) à un congrès sur ce thème – puisque, je le rappelle, j’y suis constamment confrontée lors de mes cours et stages. J’y ai notamment appris que cette atypie – que l’on peut assimiler au 6e sens – survient soit de façon congénitale, soit graduellement au fil des années, pouvant atteindre un stade fortement invalidant ; et que, si pour ma part j’estimais le nombre de citharistes concernés entre un quart et un tiers, la proportion constatée par les praticiens médicaux se situe davantage entre 30 et 50% de la population. À des degrés divers, bien sûr ! Mais je ne peux qu’engager tout cithariste confronté à des difficultés visuelles de déchiffrage – et notamment, à une anormale fatigabilité – à ne pas s’accommoder de tels embarras, à se renseigner et se faire aider. De fait, si la cithare attire les dysproprioceptifs en jouant sur leur fibre sensible, l’altération du sixième sens se manifeste dès les premiers déchiffrages, et fonctionne comme une sérieuse adversité.
Côté stages, je signale – pour le printemps – le déplacement des journées de cithare de Cran Gevrier (proximité d’Annecy), à Belmont Tramonet (20 km de Chambéry). Les détails seront prochainement mis en ligne.
Aux deux tiers de ce mois de novembre, l’ambiance pour moi est déjà presque celle de Noël, avec d’une part les préparatifs du stage à En Calcat consacré à ce thème ; et, d’autre part, la parution de mes Petits noëls traditionnels à la cithare, assortie d’audios pour faciliter le déchiffrage : une « fleur » que ma conscience pédagogique me pousse ordinairement à éviter, mais que, pour cette fois, je me fais le plaisir d’accorder, comme… cadeau de Noël !
Une curiosité légitime habite ordinairement les citharistes pratiquant les différents modèles de cithare à accords : quel est le rapport avec les cithares du Moyen Âge, de la Bible, ou de l’Antiquité ? Dès les débuts de ma carrière, je m’étais lancée dans d’importantes recherches sur ce sujet… d’autant que les investigations menées dans les années 75 par certains enseignants français avaient répandu l’hypothèse d’un lointain descendant du psaltérion médiéval, si souvent représenté dans les bras des anges, des Rois David ou d’Orphée… Psaltérions qui, quant à eux, trouveraient justement leurs sources dans les cithares hellénistiques et hébraïques…
Au premier abord, la partie mélodique semble effectivement apparenter notre cithare au cordophone médiéval, et donc, à ses ascendants de l’Antiquité… Sans doute aussi, est-il doux de songer aux liens spirituels qui nous relient au roi David et à Orphée, glorieux citharistes d’antan ! Cependant, suite à mes lectures, visites de musées/expo, et rencontre de collectionneurs, il m’est apparu dès 1997 que cette hypothèse se doit d’être infirmée.
Ainsi, avec le bénéfice de l’approfondissement et de la maturité, j’ai l’immense plaisir de publier ce mois-ci le texte (illustré) de la conférence que j’avais prononcée en 1998 pour les journées associatives : “Aux origines de la Cithare à accords… Une étonnante genèse” !
La remontée aux sources inattendues de notre instrument est un sujet passionnant, qui permettra à chacun de se cultiver en faisant tomber bien des tabous ; de se repérer dans le temps, comme dans les innombrables mentions et représentations de cordophones… Une belle idée pour vos étrennes, pour un prix… tout à fait modique !
Un autre sujet qui me tient particulièrement à cœur connaît également de sérieuses avancées en ce moment : la dysproprioception, à laquelle j’ai été sensibilisée par une amie en 2008, et qui, selon mes observations depuis cette date, concerne curieusement entre un quart et un tiers des citharistes… avec toutes les conséquences déplorables qui en résultent quant aux capacités de déchiffrage, et rythmiques…
Or, ayant eu récemment l’opportunité tout à fait fortuite de rencontrer un médecin spécialisé en ce domaine, j’ai eu la surprise d’être confirmée dans mes observations, aussi étranges soient-elles : c’est pourquoi je me permets, pour la première fois, de les mentionner par écrit de façon publique. En bref : la cithare « attire » les dysproprioceptifs, en même temps qu’elle leur pose problème…
Et voici que contre toute attente, mais pour ma plus vive satisfaction, une collaboration s’engage entre médecine et pédagogie : j’y ai déjà puisé quelques précieux conseils pour l’accompagnement de cette atypie. J’invite donc tout cithariste qui pourrait se sentir concerné à ne pas s’accommoder de semblables difficultés, mais à me contacter pour un échange, qui sera certainement enrichissant et fructueux de part et d’autre ; contribuant, en outre, à améliorer les modalités d’apprentissage d’un grand nombre.
Enfin, à guetter courant novembre : la prochaine parution du recueil « Petits noëls traditionnels à la cithare » (niveau simple, pour cithare 6 accords et plus).
Rentrée le 25 du stage que j’ai donné à Saint-Thierry (Fr-Marne), j’ai encore l’esprit et le cœur remplis des mille facettes de cette session qui, une fois encore, restera inoubliable… Il y a eu bien sûr le travail musical et ses progrès, les joies du chant accompagné… Mais aussi, d’une façon toute particulière, la richesse peu commune que chacun des huit participants a apporté au groupe ; je constate une fois de plus que les citharistes sont des êtres d’exception !
Nous nous disions justement en nous quittant : « pas besoin de courir à la plage, ou à l’autre bout du monde, pour vivre des moments si heureux : il suffit d’une session de cithare ! »
Quelques jours plus tôt, la résidence de Majaya (notre trio musical) avait été elle aussi un temps réjouissant et bénéfique ; nous vous partageons une petite vidéo souvenir, même si ce n’est qu’un temps de répétition où la cithare n’est pas sonorisée…
Nous en sommes à chercher la formule pour un petit concert de test et de lancement, a priori chez un particulier… Pourquoi pas vous, si vous êtes sur l’agglomération lyonnaise !
Et une petite cithare diatonique (15 cordes), croisée sur la route des vacances… prémices de nos instruments !
L’été va sans doute nous donner l’occasion – plus que la vie courante – de rencontrer d’autres musiciens, et de tenter d’unir nos instruments… Je choisis donc cette saison pour rapporter un échange avec une cithariste, qui me semble intéressant pour tous.
Elle m’écrit : « Lors des rassemblements paroissiaux, je rejoins un groupe de musiciens qui comprend différents instruments : guitare, flûte, saxo, clarinette, trompette. Pour ce qui me concerne, je joue soit de la guitare, soit de la flûte à bec, selon les partitions. Mais cela ne me satisfait pas pleinement, surtout la guitare que je n’aime pas trop en liturgie… Bien entendu, il faudrait déjà une bonne sono, et adapter les accompagnements à la cithare.
« Alors, je me demande : est-il vraiment possible d’intégrer la cithare dans un tel groupe ? Qu’en penses-tu ? Que me conseillerais-tu ? »
Oui, oui, oui … la cithare au milieu de tant d’instruments, ça paraît compliqué ! Malgré tout, les expériences familiales et autres m’inspirent quelques pistes de réflexion…
Même avec une bonne sono, éviter d’accompagner 2 instruments solistes à la fois, à moins que la cithare sonorisée ne soit capable d’émettre un énorme volume sonore.
S’il y a un guitariste, essayer de le convaincre qu’il vaut mieux alterner la mélodie jouée par l’un et les accords par l’autre – puis, vice versa : beaucoup plus jolis que « tout le monde fait tout ».
Et ce serait la même recommandation vis-à-vis de tout autre instrument polyphonique : orgue, clavier, accordéon : mieux vaut que l’un assure la mélodie, et l’autre l’accompagnement…
Tout cela suppose que les musiciens acceptent d’intervenir à tour de rôle, pour chercher ce que l’on pourrait appeler « le bien commun ». Un message parfois difficile à faire passer… Prendre l’image d’un orchestre, dont les grands virtuoses acceptent pourtant des temps d’inactivité – et, lorsque apparaît le timbre de leur instrument, il n’en ressort que davantage !
Comme disait un de mes profs d’analyse musicale : tout le monde en même temps, ça finit comme en peinture : quand on superpose trop de couleurs, une sorte de « grisaille sonore »…
Reste à souhaiter à tous de belles heures de musique !
Je commence par une petite info à l’intention de ceux qui, souvent, sont en quête de tons de psaumes et d’antiennes pour le chant de l’Office : à signaler donc, une compilation récente de diverses éditions précédentes , tout à fait exhaustive (année liturgique complète) : « Chanter l’office », chez Lethellieux. Noter tout de même que les accords pour l’accompagnement n’y figurent pas…
A l’horizon de mon été, un temps de résidence avec le trio Majaya, pour finaliser notre programme… Et bien sûr, le stage à Saint-Thierry (près de Reims), où nous comptons bien faire résonner les cithares dans la basilique Saint-Rémy. .
Enfin, Citharistes, un cher ami nous a quittés ce mois-ci,, que nous aimions tous beaucoup : Jean-Paul Paire, de Guéret.
Je le trouvais fatigué cet hiver – c’est bien permis ; à 88 ans je crois… Et il est parti d’une crise cardiaque le 5 juin. Or notre dernier contact remontait juste à la veille : il avait une leçon prévue ce jour-là, mais s’excusait… se trouvant aux urgences…
Chacun se souviendra longtemps de son amour et de son zèle peu commun pour la cithare ! A-t-il jamais manqué une session à Bourges ou à En Calcat, depuis 2004 je crois ! Quant aux leçons à distance, c’est simple : il a débuté lors de leur mise en place en 2006 et, fidèlement tous les mois, ne s’est jamais arrêté. En stage comme en cours, je n’ai pas eu d’autre élève atteignant un âge aussi vénérable…
Un homme de service… Je n’ai pas oublié qu’il a gracieusement assuré toute la comptabilité associative pendant plusieurs années. Par ailleurs, son dernier accompagnement liturgique à la cithare ne datait-il pas, tout simplement, du dimanche précédent. Comme il l’assurait plusieurs fois par mois, on peut imaginer le grand vide qu’il laisse pour son secteur paroissial creusois…
Plusieurs ont souligné son sourire et sa gentillesse : combien de trajets en voiture, cithares transportées pour soulager les dames du stage, ou moi-même, y compris à travers les étages…
Enfin, que de nombreux et magnifiques partages spirituels, plus fréquents qu’avec d’autre : à l’occasion des repas, ou en fin de leçon.
On me pardonnera de ne pas rapporter ici chaque départ dans l’Éternité, mais pour une figure aussi marquante dans le monde de la cithare depuis une vingtaine d’années, il me semble que je ne pouvais pas moins faire !
Quelques nouvelles, un peu plus brèves que d’ordinaire… Car je suis très largement absorbée par la réfection complète du recueil Sol-cithare (qui datait de 2002, et gagne à intégrer les nombreuses avancées pédagogiques réalisées depuis).
– Dans la confiance, reprise des répétitions de notre trio Majaya, en vue de réalisations ciblées…
– Et pour les citharistes, une photo qui va intriguer… étrange pièce de tissu, que j’utilise tout simplement sur le conseil d’une « ancienne », pour dépoussiérer mes instruments ! Idéal, car se faufile efficacement sous les parties basses des cordes, entre les chevilles etc.
Dimensions : L 9 cm, H 6 cm ; épaisseur 0,5 cm grâce à un capitonnage qui donne à l’ensemble ce qu’il faut de rigidité. Tissu synthétique, pour bien profiter de l’effet électrostatique.