Je sais que cette année a eu, pour chacun, son lot plus ou moins volumineux de désagréments… Pour moi du moins, elle aura été professionnellement marquée par plusieurs événements heureux : Parution de trois recueils de compositions, et de mon premier livre…
Plus encore – même si je n’en ai pas fait état jusqu’ici – l’année où il m’a été enfin donné de parvenir à une heureuse répartition des tâches entre mes collaborateurs : plusieurs prestataires compétents travaillant à distance… et sur place ; un nouvel assistant aussi bon musicien qu’informaticien, méticuleux et efficace. Le fait que mes choix d’édition (notamment pour la partie musicale) se voient ainsi validés par un musicologue, n’est pas la moindre des satisfactions !
A présent, quelques mots dédiés à ceux qui liront ces lignes avant le soir de Noël,
Nuit de Noël : le monde est en prière,
et tous les yeux sont levés vers les Cieux…
Chanson apprise pour le Noël de mes neuf ans, qui n’a jamais voulu quitter ma mémoire et, chaque année, me rejoint fidèlement « au Saint Anniversaire », comme pour me propulser dans ce grand agenouillement de l’univers !
Ne sont-ils pas indénombrables, ceux qui, en ce soir, lèvent les mains vers le Ciel ou les tendent à leurs frères, pour la justice et la paix. Sur chaque continent, la cithare m’a donné d’en connaître plus d’un, et c’est peut-être bien ce qui en moi fait vibrer ces deux lignes : grande symphonie où chacun a sa partie à tenir,,, et toi aussi, peut-être ? …
A tous, joie de pouvoir offrir, avec petite rime, mes Meilleurs Vœux pour 2022 : ils n’en sont que plus sincères et chaleureux !
– Désormais en rayon : l’intégral des 12 variations sur Le Vieux Chalet qui – pour mémoire – constitue aussi bien un ensemble de pièces plaisantes, chacune dans un style bien particulier… qu’une collection d’études abordant les douze principales techniques de la cithare, tant pour la mélodie que pour l’accompagnement (voir l’index). Chaque variation est assortie d’une page de commentaires techniques* et poétiques…
Pour cithare 6 accords et plus – à partir du niveau 3.
* Les 60 exercices qui précédaient dans l’édition 1990 ont été retirés.
– Réédition digitalisée du recueil Psaltérion, chemin de paix, comprenant les quatre pièces pour psaltérion 12 accords du CD Cithare, chemin de paix (1991) : Au désert – Jardins de la prière – Prince de la paix – La colombe aux ailes d’argent. A partir du niveau 4.
– La partition Angelus Domini est une mise en œuvre tout à fait originale de la superbe prière telle qu’elle se chante en grégorien. Extrait du recueil Carmina Mariae – pour psaltérion 12 accords – niveau 3.
– Pour tous ceux qui se souviennent d’avoir joué avec bonheur la Pièce pour guitare n°2 de Paganini (référencée MC058), je signale que la partition, initialement destinée aux cithares 6 accords, a été complétée d’une 2e page, tout aussi charmante, pour 7 accords. Cet allegretto de la sonata 8 est désormais complet ! Niveau 2.
Quant à la remise en ligne de partitions déjà présentes avant la MAJ de 2020, elle porte ce mois-ci sur des pièces simples, extraites du recueil Premiers pas, pour cithare 6 accords et plus :
– Très attendu depuis des années (mais il m’a fallu régler de complexes questions de droits d’auteur) : la partition de “Dites-moi, les Anges” (texte : D. Rimaud, musique : M. Gérentet). Chant abondamment mentionné et commenté dans mon livre Grand frère luthier en cithare, et qui figure si souvent en point culminant de mes concerts… Livret disponible en pdf à télécharger, ou par voie postale. Bon chanteur, niveau 1 pour l’accompagnement – minimum 7 accords (avec transposition).
– Après le thème et les 6 premières variations sur Le Vieux Chalet), viennent tout naturellement les Variations 7 à 12 – dans l’attente du tout prochain recueil.
(Pour mémoire, réédition digitalisée de l’édition 1990, revue et complétée par des commentaires techniques, poétiques et spirituels – 14 pages – dès 6 accords – à partir du niveau 4.
– En vue des fêtes de fin d’année, je propose pour 2021 la transcription d’un Noël polonais, simple et joyeux ! Inédit – niveau 1.
Et bien sûr, à l’approche de Noël, je reprends aussi divers traditionnels (dont quelques incontournables) que l’on trouvait sur le site avant la MAJ de 2020. Accessibles au niveau 1 et dès 6 accords, 2€ la page…
Je viens de terminer le livre sur Frère Patrice, Bravo Maguy.
Je l’ai lu en 3 jours, heureusement qu’il y avait les vacances avec moins d’activités solidaires.
J’y ai découvert la vie du frère Patrice, mais aussi le pourquoi du renouveau des cithares : j’étais loin de penser que c’était la réforme de la liturgie catholique…
et aussi votre vie dans le monde de la cithare, et comment en réalité votre carrière a été soudée à la découverte de cet instrument à Tamié puis ensuite à la découverte de frère Patrice.
Je viens de terminer de lire ton livre. Merci, infiniment merci. Cette lecture m’a passionnée ! Déjà, j’ai découvert Frère Patrice. C’est vraiment un être exceptionnel qui a fait tellement pour la cithare. Je suis émerveillée.
J’ai beaucoup aimé te lire. Ton style me plaît et tu racontes merveilleusement bien avec d’infinis détails qui nous font comprendre tout avec facilité.
Ce livre est une mine de découvertes par rapport au développement de la cithare qui est maintenant un merveilleux instrument d’accompagnement, mais aussi pour jouer des morceaux.
Merci aussi d’avoir aussi dévoilé une partie de ta vie liée à la cithare et à frère Patrice.
Avoir lu ton livre me donne encore plus envie de jouer de la cithare. Cet instrument me plaît infiniment pour la douceur et l’apaisement qu’il procure ; tous deux me poussant à la prière et à la méditation. Je crois fortement et je ressens ces mots que tu as écrits sur la jaquette de ton premier album : « Si doux que soit à nos oreilles le chant de la cithare, plus délicat encore, l’Amour que Dieu murmure en notre cœur. »
Ton chapitre 18 intitulé : » Deux vies pour une œuvre « , m’a particulièrement ému et touché. « Faire connaître l’Amour »… Je peux te dire que tu le réalises vraiment lorsque nous participons à tes stages.
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Premiers échos – combien touchants – suite à la publication de mon livre « Grand frère luthier en cithare »… « Quelle merveille tu nous donnes ! J’ai déjà commencé à le lire et c’est une joie à chaque ligne. Merci de nous partager ce que fut Frère Patrice, mais aussi ce qui a fait ta vie avec la cithare. » (M.B.) « Que ce livre est magnifique ; il me renseigne aussi sur les débuts de votre collaboration. 16€ : ce n’est pas cher pour ce beau volume ! Et quel travail d’écriture… » (L.B.) « Un très grand merci pour ce travail immense que tu as fourni, pour recueillir tous ces documents et retracer l’histoire qui te lie à frère Patrice, au monde de la musique… et ces rencontres spirituelles, profondes, que tu partages si bien… Tellement d’anecdotes traversent ces pages, tellement de joie également ! Merci vraiment pour ce grand témoignage, cette œuvre de vie où je te retrouve bien, ainsi que la présence de frère Patrice. » (G.B.) « …Mais quelle vie étonnante que celle de Frère Patrice ! Merci beaucoup de me l’avoir proposé ; j’ai aussi apprécié la place « modeste » (mais pas si modeste que ça) que vous avez tenue. (L.B.)
Puisque mes lecteurs sont dispersés aux quatre coins cardinaux, j’envisage une sorte de « grand échiquier » en visio, pour échange d’impressions… Mais laissons d’abord à chacun le temps de terminer sa lecture !
On me demande combien d’heures j’ai passées à écrire ce volume, à choisir les illustrations : question vraiment difficile ! J’ai commencé quelques semaines après le décès du frère (hiver 2017), mais en me défendant d’y travailler les jours ouvrables – ne restaient donc que les rares dimanches où j’étais libres, et les périodes de vacances, où ça avançait davantage. Au total, je dirais : au moins deux mois pleins de travail, sans doute davantage…
• Côté éditions pour cithare, une petite anecdote : j’ai été très frappée par un certain parallélisme entre le grand Hergé et moi-même, tandis que je lisais une biographie de ce géant de la BD. Imagine-t-on qu’il a passé une grande partie de son temps à réviser ses premiers albums : soit pour améliorer certains points, soit pour rectifier des coquilles signalées par les lecteurs (ex : nombre de marches du château de Moulinsart !), soit pour coloriser ce qui avait été publié en noir et blanc !… Eh bien oui, modestement : avec mes évolutions de codage, et surtout le passage à l’informatique, je peux me sentir toute proche du père de Tintin… sauf que lui pouvait s’offrir une équipe entière pour effectuer ces menus travaux !!!
• Côté concerts enfin, puisque l’horizon sanitaire se dégage un peu, je mets en route pour le carême ou le début du temps pascal une nouvelle proposition : « Psaumes de la vigile pascale » – avec plusieurs créations. Merci à toute personne qui pourrait relayer cette offre, dans sa paroisse ou autre lieu, de prendre contact sans tarder.
Premiers échos – combien touchants – suite à la publication de mon livre « Grand frère luthier en cithare »…
« Quelle merveille tu nous donnes ! J’ai déjà commencé à le lire et c’est une joie à chaque ligne. Merci de nous partager ce que fut Frère Patrice, mais aussi ce qui a fait ta vie avec la cithare. » (M.B.)
« Que ce livre est magnifique; il me renseigne aussi sur les débuts de votre collaboration. 16€ : ce n’est pas cher pour ce beau volume ! Et quel travail d’écriture… » (L.B.)
« Un très grand merci pour ce travail immense que tu as fourni, pour recueillir tous ces documents et retracer l’histoire qui te lie à frère Patrice, au monde de la musique… et ces rencontres spirituelles, profondes, que tu partages si bien… Tellement d’anecdotes traversent ces pages, tellement de joie également ! Merci vraiment pour ce grand témoignage, cette œuvre de vie où je te retrouve bien, ainsi que la présence de frère Patrice. » (G.B.)
« …Mais quelle vie étonnante que celle de Frère Patrice ! Merci beaucoup de me l’avoir proposé ; j’ai aussi apprécié la place « modeste » (mais pas si modeste que ça) que vous avez tenue. » (L.B.)
Puisque mes lecteurs sont dispersés aux quatre coins cardinaux, j’envisage une sorte de « grand échiquier » en visio, pour échange d’impressions… Mais laissons d’abord à chacun le temps de terminer sa lecture !
On me demande combien d’heures j’ai passées à écrire ce volume, à choisir les illustrations : question vraiment difficile ! J’ai commencé quelques semaines après le décès du frère (hiver 2017), mais en me défendant d’y travailler les jours ouvrables – ne restaient donc que les rares dimanches où j’étais libre, et les périodes de vacances, où ça avançait davantage. Au total, je dirais : au moins deux mois pleins de travail, sans doute davantage…
Côté éditions pour cithare, une petite anecdote : j’ai été très frappée par un certain parallélisme entre le grand Hergé et moi-même, tandis que je lisais une biographie de ce géant de la BD. Imagine-t-on qu’il a passé une grande partie de son temps à réviser ses premiers albums : soit pour améliorer certains points, soit pour rectifier des coquilles signalées par les lecteurs (ex : nombre de marches du château de Moulinsart !), soit pour coloriser ce qui avait été publié en noir et blanc !… Eh bien oui, modestement : avec mes évolutions de codage, et surtout le passage à l’informatique, je peux me sentir toute proche du père de Tintin… sauf que lui pouvait s’offrir une équipe entière pour effectuer ces menus travaux !!!
Côté concerts enfin, puisque l’horizon sanitaire se dégage un peu, je mets en route pour le carême ou le début du temps pascal une nouvelle proposition : « Psaumes de la vigile pascale » – avec plusieurs créations. Merci à toute personne qui pourrait relayer cette offre, dans sa paroisse ou autre lieu, de prendre contact sans tarder.
– Ave maris stella et ses grandes variations : une création personnelle autour de l’incomparable hymne grégorienne, que les fans de composition ne manqueront pas de saluer. Extrait de Carmina Mariae – Niveau 4 – pour cithare 12 accords.
– Place à la grande musique, avec la transcription de l’Andante du concerto pour mandoline de Vivaldi : une mélodie connue qui jusqu’ici avait fait le bonheur des groupes de musique d’ensemble… Inédit – niveau 6 – à partir de 7 accords.
– Pour faire suite à la fiche pédagogique consacrée à l’exécution des deux mains alternées, il est temps de publier Mélodie et accords – mains simultanées… puisque la simultanéité représente le cas général des pièces pour cithare, et pourtant, une exigence difficile à maîtriser ! Le doc. comprend 2 pages de recommandation, puis 10 autres d’exercices distinguant les diverses techniques des accords.
Le petit coup de cœur du mois ira vers d’autres compositions, que j’avais déjà signalées peu avant la MAJ de 2020 : de style hébraïque celles-ci, inspirées de mes chants de psaumes et de cithare. Extraites du recueil Kinodies 3 (à retrouver sur le CD Kinodies 1).
Je commencerai par un écho de la session que j’ai donnée fin août à Saint-Thierry (Marne), et en reprenant pour cela le commentaire appuyé qu’avait formulé une cithariste après la première session que j’ai organisée, en 1985 à Lyon : « Elle avait la saveur d’une première !!! ». De fait, la quasi-totalité des participants étaient novices, et cette découverte collective de l’instrument – comme des modalités de stages – produit toujours une sorte d’éblouissement…
Pas autant de flûtes qu’à En Calcat, mais une clarinette, un violon… Par ailleurs, beaucoup de créativité en impro, et de talents en germe pour les morceaux et l’accompagnement.
Terminons par un retour touchant : « Merci pour ta patience, tes conseils, ta gentillesse, qui m’ont permis de prendre confiance en moi, et de pouvoir ainsi progresser. Cette session m’a redonnée du courage… J’ai de quoi travailler toute l’année avec tout ce que tu m’a appris. Merci, tu me fais aimer la cithare encore plus… » (A.L.)
Puisque l’activité suit à présent un cours ordinaire, je propose de revenir sur quelques heureux événements qui ont vécu un anniversaire en ce 3e trimestre 2021…
Rentrée 1981 : jeune cithariste, je commençais à suivre les cours de l’abbé Marcel Godard à Lyon… En fait, 2 cours dans l’année, puis il me confiera ses élèves !
Eté 1991 : publication (en cassette) de l’album « Cithare, chemin de paix »… 1000 exemplaires écoulés sur les six premiers mois, puisque, excepté le vinyle (très contemporain) de Marcel Godard, on ne trouvait rien en cithare dans le commerce…
A l’heure où j’écris, « Grand frère luthier en cithare » (le livre que je viens de publier) vole vers les boîtes aux lettres de ceux qui ont passé commande… Et je me réjouis d’avance des réactions et échanges que va susciter ce récit insolite, aussi bien de la part de ceux qui ont connu frère Patrice, que de ceux qui vont tout découvrir de cette incroyable épopée… Je réfléchis au meilleur moyen de partager ce qui s’exprimera !
– Au rayon pédagogie, on trouvera désormais le chapitre sur L’improvisation en mode pentatonique – les premières pages de la “ Méthode d’improvisation ”. NB : cette proposition, très plébiscitée durant les stages, s’entend sans réaccordage de l’instrument… et donne immanquablement confiance aux plus hésitants !
– Dans le genre » Musique ancienne « , j’ai enfin réussi à transcrire cette chanson espagnole anonyme qui fait le bonheur des chorales : Ay linda amiga… Comme quoi, seule une longe expérience permet de venir à bout de toutes les subtilités de l’harmonie ! Inédit – Niveau 3.
– Dans le sillage du thème du Vieux Chalet (publié en juillet dernier), voici les Variations 1 à 6 – qui seront prochainement complétées par “ 6 à 12 ”, et intégralement publiées en recueil. Les variations étant conçues comme études des différentes techniques de cithare, une diffusion partielle permet un ajustement optimal au niveau de l’exécutant… Réédition digitalisée de l’édition 1990, revue et complétée par des commentaires techniques, poétiques et spirituels – 12 pages – à partir du niveau 3.
Ce mois-ci, je braque le projecteur sur des morceaux « pour bien débuter en cithare »… Et je retiens 5 compositions de mon recueil Vingt-deux piécettes, ayant pour point commun les fragments d’accords.*
A Joëlle (premiers fragments… et tierces mélodiques)
– Un peu de pédagogie, pour aider ceux qui peinent à combiner les gestes différents de leurs deux mains sur la cithare… Une première étape donc : Mélodies et accords – mains alternées : la fiche technique toute indiquée ! (Extrait de Méthode de cithare – Tome 1).
– Partition simple : Notre-Dame de Préau ! Un cantique entraînant, pour le pèlerinage local du Bugey (8 septembre)… Inédit – Niveau 3 – pour cithare 7 accords et plus.
– Partition de la grande musique : Berceuse de Gabriel Fauré (d’après la version d’origine pour piano). C’est une grande satisfaction que de pouvoir désormais faire chanter cette berceuse à la cithare – alors qu’une première tentative avait échoué dans les années 90 (la technique instrumentale ne permettant pas alors de surmonter les modulations, qui font pourtant la beauté de l’œuvre. Extrait du recueil Cithare en berceau – Niveau 6 (4 dans la version simplifiée) – pour psaltérion 12 accords.
En pleine période estivale, j’ai puisé dans le recueil La cithare austro-bavaroise pour remettre en ligne des partitions antérieures à la MAJ de 2020 – avec, ce mois-ci : 3 pièces traditionnelles, et 2 grands classiques de Johann Strauss.
(les uns et les autres peuvent se jouer en solo, ou, pour un niveau plus accessible, en duo).
Der Wilddieb(Le braconnier) – niveau 3 (en duo, 2).
NB: Les 4 premières pièces sont accessibles aux cithares 6 accords et plus, la 5è nécessite 12 accords.
Dans la catégorie Stages :
Les Week-ends de cithare à Montfavet (84), Tamié (73) et Saint-Doulchard (18). (Accès au pdf Modalités et Bulletin d’inscription depuis la fiche produit de chaque stage.)
Inévitablement, quelques échos de la session d’En Calcat, car à mon grand étonnement, celle-ci restera marquée dans les annales ! « Traversière », Alto, Pan… Le thème « Cithare et flûtes » s’est révélé un excellent support pour découvrir des répertoires, des sonorités, pour susciter des duos et trios inattendus… et surtout, il nous a amené des citharistes-flûtistes que nous ne connaissions pas : grandes musiciennes, qui ont largement contribué à ce succès musical, et attiré le niveau vers les hauteurs… Je crois que tous ont pu percevoir cette richesse et s’en réjouir. Quant à moi, qui croyais ne plus jamais atteindre la plénitude de la session 2019 qui avait été consacrée aux musiques d’Israël, je découvre une fois encore que « impossible n’est pas français » !
Sans compter qu’une « craba » (grande cornemuse de la Montagne Noire) pratiquée par notre stagiaires de Dourgne, s’est invitée pour la joie de tous : lors d’une sortie en soirée, sur les marches d’une capellette, à la croisée de deux torrents… A tort ou à raison, aucun moine d’En Calcat ne m’avait jamais parlé de cet instrument typique du terroir !
Enfin, écoutons le retour d’une participante : « Je ne sais si c’est le port du masque, mais la communication entre nous tous a été plus forte cette fois ci, échanges musicaux flutes, cithare, chants et partages personnels. » (D.L.)
Comme prévu, mon livre « Grand frère luthier en cithare » va partir à l’impression dans les prochains jours, pour une centaine d’exemplaires : les commandes pourront donc bien être servies fin septembre. Un « petit résidu » est prévu pour les retardataires éventuels… mais disons que globalement, les dés sont jetés ! Et je me réjouis que ce beau récit se diffuse aux quatre coins de la francophonie, et puisse circuler autour des acquéreurs (monastères en particulier) sans que l’on ait pour cela « arraché trop d’arbres » sur notre planète essoufflée…