Une petite “Pièce pour guitare” de Napoléon Coste qui, dans mon parcours cithariste, a été l’une des premières transcriptions à révéler combien la cithare peut accueillir et valoriser le style baroque… Et certains en étaient stupéfaits !
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“Taar i nöd a Bitzeli” (Est-ce que je n’oserai pas un peu te faire la cour ?) : transcription de Suisse alémanique… Une authentique tyrolienne, qui en plein été vous transportera dans ces contrées où la cithare est née, et s’est développée.
Rentrée le 25 du stage que j’ai donné à Saint-Thierry (Fr-Marne), j’ai encore l’esprit et le cœur remplis des mille facettes de cette session qui, une fois encore, restera inoubliable… Il y a eu bien sûr le travail musical et ses progrès, les joies du chant accompagné… Mais aussi, d’une façon toute particulière, la richesse peu commune que chacun des huit participants a apporté au groupe ; je constate une fois de plus que les citharistes sont des êtres d’exception !
Nous nous disions justement en nous quittant : « pas besoin de courir à la plage, ou à l’autre bout du monde, pour vivre des moments si heureux : il suffit d’une session de cithare ! »
Quelques jours plus tôt, la résidence de Majaya (notre trio musical) avait été elle aussi un temps réjouissant et bénéfique ; nous vous partageons une petite vidéo souvenir, même si ce n’est qu’un temps de répétition où la cithare n’est pas sonorisée…
Nous en sommes à chercher la formule pour un petit concert de test et de lancement, a priori chez un particulier… Pourquoi pas vous, si vous êtes sur l’agglomération lyonnaise !
Et une petite cithare diatonique (15 cordes), croisée sur la route des vacances… prémices de nos instruments !